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Thomas fonde l'Église en Chine, Éditions du Jubilé

THOMAS FONDE L'ÉGLISE EN CHINE

(65-68 AP. J.-C.)

« Un tremblement de terre » ! L'expression est celle du Quotidien du Peuple imaginant que soit prouvée une évangélisation précoce de la Chine, mieux, qu'une Église chrétienne structurée y ait été implantée.

Eh bien, c'est exactement ce que ce livre va déclencher tant les découvertes de Pierre Perrier établissent de façon irréfutable cette hypothèse. « Irréfutable », car la découverte sur laquelle il s'appuie n'appartient pas à la seule tradition orale dont il est un spécialiste mondialement reconnu, mais à l'écrit le plus propre à traverser les siècles : des sculptures dont personne ne conteste l'authenticité. Elles que l'on prenait, ou feignait de prendre, pour des figures bouddhiques, sont bel et bien chrétiennes.

C'est l'histoire de cette découverte, bouleversante, qui est racontée dans ce livre, dans une collaboration entre la plume alerte de l'écrivain, spécialiste de la Chine, qu'est Xavier Walter, et le savant qu'est Pierre Perrier.

Avec l'appui d'un cahier de 24 planches regroupant photos, dessins, schémas et cartes.

 

Oui, un « tremblement de terre » qui surgit au moment même où le monde entier a les yeux fixés sur la Chine.

Éditions du Jubilé

ISBN : 978-2-86679-482-8

L'apôtre Thomas et le Prince Ying, Éditions du Jubilé

KONG WANG SHAN

L'APOTRE THOMAS ET LE PRINCE YING

Kong Wang Shan, littéralement « Mont du Prince Duc » : un nom qui restera comme celui d'une des plus grandes redécouvertes du XXIe siècle. Situé près de Lianyungang, grand port chinois du Ier siècle, ce lieu surplombe la route qui conduit aux capitales de l'Empire des Han : Xi'an et Luoyang. Là, un ensemble de bas-reliefs de plus d'une centaine de personnages a été sculpté en l'an 70 de notre ère, selon une datation précise fondée sur des documents de l'Empire.

 

Ce livre, prenant appui sur les travaux archéologiques chinois, et présentant le résultat des études du groupe multidisciplinaire international que l'auteur a coordonné, constitue la première étude systématique de la frise de Kong Wang Shan. Remettant en question l'attribution bouddhiste ou taoïste qui était retenue jusqu'à présent, sur la base d'une analyse à la fois trop partielle et discordante, il montre qu'une interprétation cohérente et complète de toutes ces figures devient possible, dès lors que l'on prend en considération le judéo-christianisme et la culture parthe.

Cela conduit l'auteur à défendre la thèse suivante : le thème de la frise est la prédication évangélique initiale de l'apôtre Thomas. Venu en Chine par la mer, depuis le sud de l'Inde, à la demande de l'empereur Mingdi, il a été accueilli par le Prince Ying. Cette thèse n'est provocatrice qu'en apparence : les traditions indo-mésopotamiennes des « chrétiens de saint Thomas » et celles d'Arménie ont toujours évoqué ce séjour de l'apôtre en Chine, peu d'années avant son retour et son martyre en Inde.

L'intérêt de Kong Wang Shan pour l'histoire du premier siècle n'en ressort que plus fortement, puisque cette frise est sans aucun équivalent archéologique ou littéraire, notamment en ce qui concerne la fondation d'une église apostolique. Frise, calvaire, église, baptistère, lieux de formation de la hiérarchie, tout cela permet d'éclairer bien des textes jusqu'alors incompris. À l'apogée de la grande dynastie chinoise Han, se révèle l'influence bénéfique du succès de la prédication de l'apôtre Thomas.

Un témoignage unique au monde sur la prédication apostolique

Éditions du Jubilé

ISBN : 978-2-86679-548-1

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